Marseille. Quatre malfrats octogénaires, une ancienne prostituée, un baron mexicain réfugié au Venezuela, de la « cacaocaïne », objet de toutes les convoitises depuis la légalisation de la cocaïne… voici quelques ingrédients qui rythment cette bouffonnerie extravagante.
Le récit fleure bon la hâblerie marseillaise, avec ses mots et ses expressions appuyés par des jeux de mots et par toutes sortes de figures de style…
Bon voyage dans cet univers où la crédulité flirte avec l’ignoble et où seule la lune guide les fous dans l’obscurité de la démence.
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Jean-Luc Siegel
« Le monde est gris. Il a besoin de se fuir lui-même et de fausser compagnie à la morosité pour plonger dans la légèreté… L’humour est l’apéritif qui ouvre l’appétit de la bonne humeur. L’amour est un délice qui se déguste à cœur. Le rire est le digestif d’une dure journée de labeur. Les mots jouent une bouffonnerie extravagante qui fait la nique aux pudibonds et à ceux qui se prennent au sérieux. » Telle est la pensée qui a motivé Jean-Luc Siegel à écrire ce roman.