En résumant l’ouvrage, l’oiseleur ne peut que trahir le vol de l’oiseau, en tachant la couleur de leurs ailes, de noir goudron, en faussant leurs chants, en blessant les notes de détresses sourdes, d’anathèmes inaudibles sous le vent.
Jouer à cache-cache avec le sens qui s’effaçait à chaque mot passé, comme les dessins sur le sable. Une sagesse « antique » qui se voulait ...